La la première fois, c’était pour rire. C’est ce que présenté Sonia, 25 ans, quand elle raconte comment elle a testé la voyance par SMS avec sa meilleure partenaire. Elles étaient en terrasse, entre deux cocktails, et ont départ chacune une problématique différente. Légère, sans enjeu. Et néanmoins, votre résultat de Sonia l’a glacée. Pas parce que c’était grave, mais parce que ça mettait le brin pile sur un truc qu’elle n’avait pas présenté. Depuis, elle fait parvenir un SMS assez souvent. Jamais sur une empreinte de figures, forcément dans les périodes où elle sent que des éléments coince. Elle n’en parle pas à proximité d’elle. C’est devenu d'individualité. Pour Gaël, 32 ans, on a la discrétion du format qui compte. Il est dans un un univers professionnel compliqué, pas question de se poinçonner vulnérable. tandis que il traverse des vies de incertain, il préfère envoyer un mail un problème, dans le bien-être. Pas envie de justifier, absolument aucun besoin d’écouter un écho. Il renvoie, il attend. Ce qu’il reçoit n’est pas forcément immensément soigné, mais ça l’aide à modifier un curseur interne. Il dit que cela vient tels que consulter un GPS lorsqu'on ne sait pas encore si on doit façonner ou prolonger tout droit. Ce qui revient couramment, c’est la surprise. Personne ne s’attend véritablement à pouvoir être touché par un ample SMS. Et néanmoins, dans cette brièveté, il y a une charge. Pas de mise en scène, pas d’ambiance, fiable une phrase, ou deux, qui arrivent de façon identique à un écho inattendu. Certaines personnes l’effacent, d’autres la gardent finement. Camille, comme par exemple, conserve tous indices reçus dans un dossier de son téléphone. Elle y retourne parfois, comme par exemple on relit un journal. Elle y voit une catégorie de clef, des explications qui prennent sens à la longue.

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